J'adore Anne-Sophie Lapix depuis le début de sa carrière journalistique à LCI. Je me levais de bonne heure quand je logeais dans les hôtels de province au cours de mes voyages en France. Je prenais le petit-déjeuner dans ma chambre en regardant son  journal matinal et la couleur du jour devenait celle de la bru idéale au teint bronzé dont j'aurais aimé être le beau-père. Eussé-je eu dix ans de moins que j'eusse aimé lui offrir son premier café-crême au Flore et son souper à La Coupole. aujourd'hio, vieux singe en hiver, je ne peux que rêver à la métempsychose devant mon écran le dimanche midi sur Canal+. Mais rien ne se substituera vraiment à celle qui fut la star de LCI et, si je me livre à quelques exercices de manipulation photoshopique de clichés pris itérativement un soir de l'année 2003 alors qu'elle présentait un journal où il était question entre autre du chanteur Bernard Cantat, c'est parce que la série montre combien elle vivait son quart d'heure d'informations.

La série est présentée sous formes de planches insérées épisodiquement.

C'était alors l'été de la canicule que je raconterai un jour à ma façon tant j'eus de soucis de santé cette année-là. Je le passai à Paris. Je fus bouleversé par le décès de Nadine Trintignant, actrice magnifique qui n'aurait jamais dû cesser si tôt de nous parler d'amour. Habillé de blanc, comme le demandait son père, je montai la rampe du cimetière du Père Lachaise. Il y avait foule pour y entendre le requiem verbal que lui offrit Jean-Louis Trintignant.

A RAVENSBRÜCK

LA PHARMACIE DE MARGUERITTE CHABIRON
A VERDELAIS ETAIT DANS CET IMMEUBLE

LES RESISTANTES S'ENFUIRENT PAR LE JARDIN A PIC